C’est ce que rapporte Le Point, montrant clairement que l’infectiologue marseillais, chantre de la chloroquine et de ses dérivés pour soigner les patients atteints de covid-19, a très peu d’appuis à l’Elysée et dans ses parages: “un essai thérapeutique a été lancé, très encadré: comme ça, le fou furieux va être occupé à autre chose et on le verra moins sur les plateaux télé”, avait alors lancé la porte-parole du gouvernement.
Aujourd’hui c’est tout le contraire qui se passe. Le directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille a le vent en poupe et compte des adeptes jusqu’à la Maison Blanche. L’étude thérapeutique en question, le “discovery”, nouveau Titanic, n’a pas eu plus de succès que son cousin britannique “recovery” et a même englouti l’argent du contribuable français.
Pour sûr, celui qui se classe parmi les “élites”, se fait appeler “la star des maladies infectieuses”, avec, insiste-t-il, “un cursus qui ferait rêver”, continuera pour longtemps à hanter les sommeils de Sibeth Ndiaye mais aussi du ministre de la Santé, Olivier Varan et de tant d’autres personnalités des deux mondes parallèles: celui, connu, de la politique et l’autre, encore inexploré, des big pharma, planète en collusion avec les prestigieuses météorites de la presse médicale britannique.
Source : financialafrik.com