Le Mali est et sera la finalité de toutes nos hypothèses. Ce n’est plus une question de posture politique.
Boni, Soumpy, Dioura,….Kolongou, Ogossagou… Sobane-kou, Yoro, Gangafani2
Je suis choqué et déchiré par ces massacres, ces exactions. J’ai honte de ma lâcheté politique malienne. À la vérité le Président de la République n’arrive pas à transpirer l’union sacrée nécessaire au compromis historique de sauvetage du Mali.
Le Mali est à la croisée des serments et des cheminements.
Que de tergiversation!
Que de versatilité!
La nation malienne est entrain de se disloquer avec nos replis identitaires. Sommes-nous dans une République?
Dans un contexte où la survie du Mali se joue. Les institutions, dans ma conception de leur seuil d’utilité, ne doivent être sous la coupe d’intérêts politiques, de groupes de pression économiques ou d’allégeances sociales. Je propose au Président d’ouvrir une transition :
1 . En mettant en place une Assemblée Constituante qui connaîtra de tous les sujets de notre gouvernance territoriale. Le Fédéralisme ne doit pas être un sujet tabou
2. En formant un gouvernement d’union nationale au plus de 19 à 21 membres avec des personnalités qui ont des relais.
Malijet