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« Facebookan »: Aigles-Elephants, malchance ou malédiction ?

Meilleurs à tout point de vue et sur tous les plans, les Aigles l’ont été. Cette fois-ci encore, une fois plus, la fois qui fait plus de mal, les Dieux du stade ont tranché au détriment des Aigles. Le signe indien n’aura donc pas été brisé. Malgré la performance des Aigles, malgré leur supériorité sur le terrain, malgré les espoirs nourris en cette génération, malgré la mobilisation exceptionnelle du peuple… Sègè mase ka Sama ta ! Les Aigles se sont inclinés… La meilleure équipe a perdu.

C’est la loi du sport. Le football est ainsi fait. Manque de chance pour les uns, éternelle malédiction pour les autres. Déception des uns, résignation des autres face au coup du sort, un grand merci de tous aux jeunes. Le Meilleur est à venir. Les facebookeurs s’expriment sur le sujet.

Mahamadou Cisse : Ce Mali – CI est le plus beau match, depuis le début de la Can. Les changements faits par le coach du Mali ont déséquilibré le milieu.

Aboubacar Sidick Fomba : difficile à consommer, les jeunes ont le talent, le cœur et le courage, mais, mais la chance, un seul mot et très important, a manqué à cette belle équipe. C’est la règle du football et la vie continue.

Bravo pour la qualité du jeu et bonne chance pour l’avenir.

Youssouf Mangara : Ce genre de défaite qui te plombe le moral et qui te pousse à te lamenter. Que de regrets, que d’occasions gâchées.

Quel manque de réalisme devant les buts. Moussa Marega et Djènèpo avaient des pieds en bois.

Les Joueurs maliens n’ont fait que des mauvais choix dans le dernier geste. Si les statistiques permettaient à une équipe de remporter un match, le Mali aurait largement remporté cette partie, mais hélas.

Comparativement, on a assisté à un match opposant le Barça de Pep Guardiola au Chelsea de José Mourinho. La différence : L’un a accepté la domination en faisant le dos rond et a tué le Match à la deuxième occasion alors que l’équipe qui a dominé a raté plus de 12 occasions nettes… LA DOULEUR EST IMMENSE. C’EST LA DURE LOI DU FOOT…

L’Enfant Peulh : On ne peut que s’en prendre qu’à nous-mêmes. On a dominé le match de long en large, obtenu des occasions, produit du beau. Mais on a manqué de faire l’essentiel : tuer le match. On aurait pu le faire dès la première mi-temps.

Je maintiens aussi que l’arbitrage était absolument scandaleux. En aucune manière, ils ne doivent finir le match à 11. Les Ivoiriens ont passé tout le temps à taper dans des jambes.

C’est une défaite très amère ! Parce que notre équipe est l’une des meilleures générations : 24 ans de moyenne d’âge. Il y a quoi espérer pour les prochaines CAN.

Bouréma André Mounkoro : Bravo, les jeunes, vous avez tout donné, mais malheureusement la chance ne vous a pas souri ! L’arbitre a été très médiocre ! Le numéro 22 devait écoper d’un carton rouge direct ou par pitié son deuxième carton jaune synonyme de carton rouge ! Le coach a manqué de vision claire en deuxième mi-temps, en aucune manière, il ne devait remplacer le capitaine, dans ses changements. Il devait remplacer Maréga par Sékou Koïta.

Nouhoum Keita : En matière de football, lorsqu’une équipe manque de créativité, d’inspiration et d’efficacité, elle le paye cash.

Les aigles du Mali sont la parfaite illustration de cette triste réalité. C’est la leçon qu’il faut tirer de cette confrontation qui a encore tourné en faveur des éléphants…

Bravo tout de même aux aigles du Mali…

Makan Magassouba : La meilleure équipe a perdu. Le football est ainsi fait, nous avons eu une domination stérile.

Nous n’avons pas une, mais trois générations en OR, nous devons structurer notre football, car nous avons l’opportunité de dominer le football continental pour les 10 prochaines années. Le métier rentre dans la douleur, mais il rentre. Je félicite les joueurs, le staff et tous les supporters. AIGLES dans la victoire comme dans la défaite.

Bonne chance aux éléphants.

Dieu veille

Oumar Fomba : Je n’arrive toujours pas à y croire. Objectivement, qu’est-ce qui n’a pas marché avec les aigles ?

Boubacar Kebe : Mali-Côte d’Ivoire : je n’ai pas eu la chance de regarder le match à la télé.

Je l’ai écouté à la radio, sur rfi, les journalistes et le constat disaient la malédiction continue pour les aigles.

Pour moi, ce n’est pas une malédiction, mais plutôt les joueurs n’avaient pas conviction de gagner avec des occasions ratées. Sans une conviction, on ne peut jamais gagner un match. Les joueurs ont raté une occasion d’écrire leur propre histoire et celle du Mali.

On ne peut pas nous parler de la jeunesse, car les U19 basketteurs nous ont montré le contraire à la coupe du monde en Grèce.

Abdoulaye Toure : Le Mali joue, mais la Côte d’Ivoire gagne ! C’est dur, mais c’est comme ça, qu’il faut l’accepter.

Nabila Sogoba: Nous avons joué le ballon et la Côte d’Ivoire a marqué. Merci, Magassouba de nous avoir abusés.

Nouhoun Makadji : Magassouba et son staff ont perdu le match de leur vie. Maréga décrié pendant les trois matchs, mais le coach est têtu.

Quel gâchis de perdre contre la plus faible équipe ivoirienne de tous les temps.

Boubacar Tandina : La loi du football est cruelle certes, sinon personne ne peut dire que l’équipe n’a pas joué, mais force est de reconnaître le manque de concrétisation de certaines occasions qui nous ont conduit dans ce que tout le monde a vue….Bon, la vie continue, il n’y a pas que le football seulement dans la vie… il ya d’autres belles et bonnes choses.

Malick Konaté : Tout le monde a joué son rôle. Nous avons acheté des maillots en guise de soutien… le gouvernement, à travers le ministère des Sports  vous a proposé une prime de motivation (5millions) et il vous restait de concrétiser l’espoir. Mais malheureusement, hélas encore hélas.

Papy Traore : L’entraîneur Magassouba doit démissionner avant même son retour d’Égypte, qu’il dépose sa lettre de démission étant en Égypte. En plus ce qui est étonnant, comment faire confiance à un attaquant qui lui-même n’arrive pas à contrôler une balle ? Maréga, un vrai attaquant de rupture.

Il faut vite sauver cette génération aux mains de Magassouba avant que ça ne soit tard.

Yacouba Bassy Kané : Vraiment, changer de nom ou restez à jamais perdant face à la CI. Car sans mentir, un aigle ne peut jamais soulever un éléphant.

Alsoul Maiga : Bravo les Aigles qui tombent les armes à la main. Le réalisme a payé pour l’adversaire. Le trophée en 2021. Travaillons-y.

BouchePointue.com : Pendant 90 mns, nos cœurs ont vibré à l’unisson pour nos aigles. Nous avions tous un désir commun : voir nos Aigles gagner ! Nous avons tous chanté en chœur l’hymne national du Mali.

Nous étions tellement fiers de voir notre drapeau flotter dans le ciel égyptien. Nous avons prié pour la victoire…

Pourquoi n’essaierions-nous pas d’avoir un tel engouement pour sauver notre pays, le Mali ?

Ce n’est pas impossible : nos footballeurs viennent de nous le montrer.

Nous n’avons pas gagné, mais nous avons pendant 90mns pensé au Mali, en bien.

Impossible n’est pas malien. Levons-nous pour notre pays. Il est encore temps !

 

Source: info-matin

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