Pression internationale sur le gouvernement de la Transition
Plus les semaines s’écoulent, plus la pression s’accentue sur les autorités de la transition en général et le gouvernement en particulier. Et ce n’est pas seulement au niveau national que les choses se compliquent pour le Premier ministre et son équipe. A l’international, on ne leur accorde plus un répit. En plus des Nations unies qui réclamaient lundi dernier une accélération des réformes, ce sont les États Unis d’Amérique qui exigent désormais un calendrier électoral définitif alors que l’on est très loin d’un consensus minimum entre les acteurs politiques. Personne ne croit plus au respect du délai même si on a prôné la politique de l’autruche. En tout cas, ça risque de se terminer sans Bah N’Daw qui a juré de ne pas faire un jour de plus.
DAK
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