Alors que nous nous perdons en conjectures… disons à chercher la petite bête autant du côté de la majorité qu’au sein de l’opposition, les hommes du Faso ont tenu en deux temps trois mouvements leur dialogue et ont abouti à des résolutions qui vont être appliquées. D’ailleurs une de leurs conclusions, notamment l’ouverture des discussions avec les islamistes, doit nous pousser à explorer cette voie.
Comme eux, on doit avancer la souveraineté du peuple pour parler à tous les protagonistes de la crise et imposer cela à nos amis à l’instar de la France qui est muette. Quand aux Etats-Unis, ils discutent avec les talibans ou quand on négocie avec les mêmes jihadistes pour faire libérer des otages français.
C’est à nous de nous assumer.
DAK
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