Ce n’est pas seulement la pandémie du coronavirus qui fait des misères dans le monde. Il y a aussi et surtout le virus des fausses nouvelles ou fakes-news. Elles sont devenues des dangers permanents et récurrents. Dans de nombreux pays, on s’est vite résolu à “criminaliser” ces manipulations de l’opinion nationale et internationale. Même si on ne souhaite pas encore une telle réponse aux fausses nouvelles, il faut trouver les moyens d’arrêter les auteurs qui propagent plus rapidement leur virus.
Ces derniers temps, on a annoncé l’enlèvement ou la mort de tel ou tel candidat, distillé la contamination de plusieurs agents de santé, vulgarisé le report des élections législatives ou parfois inventer l’arrestation ou la fuite des cadres cités dans des affaires de détournement. Le plus grave c’est que les mêmes personnes reprennent les mêmes bêtises pour qu’on puisse rapidement les arrêter.
Ces fakes-news, désinformations et atteintes à la vie privée d’autrui en vrac sur les réseaux sociaux sont une pierre jetée dans le jardin des services de sécurité, de la justice et de l’Autorité pour la protection des données personnelles (APDP) quand on sait que ce sont des faits prévus et réprimés par la loi. Il est vraiment temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
DAK
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