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En un mot : A prendre ou à laisser

 

« Pour un âne enlevé deux voleurs se battaient :

L’un voulait le garder, l’autre le voulait vendre.

Tandis que coups de poing trottaient,

Et que nos champions songeaient à se défendre,

Arrive un troisième Larron

Qui saisit Maître Aliboron »…

La situation du Mali en cette année 2020 rappelle la moralité de cette fable de Jean de la Fontaine qu’on chantait sur les chemins de l’école. L’on pouvait penser que le coup d’Etat du 18 août allait mettre fin à la division de notre peuple entre pro et anti-IBK. Mais, le compte n’y est pas parce que l’arbitre est devenu juge et partie, oubliant sa promesse de neutralité, distribuant les rôles à sa guise et s’octroyant la part du lion au grand dam de ceux sans qui il ne pouvait montrer le bout du nez.

Après le président de la Transition, le Premier ministre, le gouvernement, les politiciens sont une nouvelle fois appelés à avaler la couleuvre CNT. Ils devront se contenter de la portion congrue. Et c’est à prendre ou à laisser !

DAK

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