L’arrestation de l’ancien Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga, le ‘‘Tigre’’ et de l’ancien ministre de l’Économie et des Finances, Mme Bouaré Fily Sissoko a créé un Taulé au sein de l’opinion nationale malienne. Les avis des uns et des autres restent partagés. Dans les rangs des magistrats du pays, le ton est autant paradoxal que justifié, estiment certains observateurs.
Dans une déclaration en date du 26 août dernier, l’Association Malienne des Procureures et Poursuivants (AMPP) et la Référence Syndicale des Magistrats (REFSYMA) se dit inquiète et désolée de voir ‘‘les premiers responsables de la Cour Suprême, donner à l’institution judicaire, l’allure d’un organe instrumentalisé pour fausser les règles du jeu démocratique’’ en prévision des élections présidentielles à venir.
Elles rappellent que de même que certaines , « des dispositions constitutionnelles et législatives qui sont toutes d’ordre public, (…)
A.A.D
Source: NOUVEL HORIZON