L’ONG World Vision a tenu le lundi 20 décembre 2021 à Diéma, l’atelier de partage des activités planifiées pour l’année fiscale 2022. La rencontre a regroupé dans la salle de conférence du Conseil de cercle, tous les acteurs des programmes des Communes de Diéma, Béma, Diangounté Camara et Madiga Sacko, notamment les sous-préfets, les maires, les services techniques,les associations et groupements de femmes et de jeunes,les directeurs d’écoles.

À travers cet atelier de partage des activités planifiées de l’année fiscale 2022, World Vision entendait renforcer la redevabilité, la confiance, la crédibilité, envers les parties prenantes des programmes afin de favoriser l’appropriation et l’engagement de tous les acteurs.

Dans son intervention, le préfet Abdoul Nasser Maïga a remercié les participants pour avoir répondu à l’appel. Il les a invités à faire une planification plus efficace et efficiente des activités, en vue de permettre à l’ONG humanitaire de prendre en compte les préoccupations majeures des communautés. Il a aussi remercié tous les partenaires qui évoluent dans le Cercle de Diéma, et dont les apports inestimables contribuent à favoriser le bien-être des populations, singulièrement des couches vulnérables.

Le président du Conseil de cercle, Makan Koma, a loué les efforts de World Vision et invité tous les élus à accompagnerl’ONG dans l’exécution correcte de ses activités.

À son tour, le chef du clusterpar intérim, Abdoulaye Siama a demandé aux participants de faire sans anicroches des propositions concrètes,pour l’amélioration de la qualité des programmes. Par rapport aux activités de parrainage et de protection des enfants, Abdoulaye Siama a sollicité l’implication accrue de tous pour obtenir des résultats satisfaisants.

Ainsi, les activités phares retenues pour l’année fiscale 2022 de World Vision portent sur, entre autres, le parrainage d’enfants; la réalisation de forages; la construction de latrines dans les écoles ; la lutte contre la maladie à coronavirus; la protection des enfants; la lutte contre la dénutrition; le renforcement de capacités des maraîchers; la promotion des tontines des femmes ; le soutien à l’amélioration du niveau des élèves par la lecture et le développement de la petite enfance au niveau des jardins d’enfants.

Le budget prévisionnel pour la mise en œuvre de ces activités s’élève à plus de 814 millions de Fcfa.

Ouka BA

Amap-Diéma

Source : L’ESSOR