Entrepreneur de son état, Aliou Diallo, une des victimes de Somilo-sa, demande à la population de Kéniéba de se donner la main afin d’endiguer les difficultés auxquelles la zone est confrontée. Selon lui, les mines seront fermées tôt au tard et Kéniéba devra toujours demeurer.
«Il faut se battre pour installer d’autres usines à Kéniéba», déclare Aliou Diallo qui pense qu’il est temps d’investir afin de gérer l’après-mine, faisant ainsi allusion à d’autres localités qui peinent aujourd’hui à survivre après la fermeture de leurs mines.
Fombus
Source: Le Débat