L’occupation anarchique des voies publiques constituait un manque à gagner pour l’Etat malien du fait des magasins non occupés, mais aussi un danger de sécurité dans la façon dont nos commerçants détaillants occupaient les voies publiques.
Alors, le gouvernement avait à travers des communiqués ministériels et autres canaux de communication et de sensibilisation informé les citoyens que le mois de mars sera le mois du nettoyage des voies publiques transformées en marché de vente d’articles.
Une bonne et réelle volonté politique nourrie par les autorités. Alors à Bamako, plusieurs voies publiques ont été dégagées de gré ou de force par les forces de sécurité.
Ladji Coulibaly
Source: L’Orage