Toutes les occasions sont bonnes quand il s’agit de règlement de compte. L’ex-ami de cœur de feu Dj Arafat, Débordo Leekufa a trouvé la mort de la femme du révérend Makosso comme un alibi pour coller le pasteur ivoirien.
Samedi 28 mars 2020, le très populaire révérend ivoirien Camille Makosso a perdu son épouse, la prophétesse Tatiana Kosséré. Selon les sources locales, elle aurait perdu la vie des suites d’une intervention chirurgicale qui aurait mal tourné. Mais l’artiste ivoirien Debordo, qui avait des antécédents avec l’époux de la disparue, dit ne pas croire un mot et prévient le pasteur: “tu iras en prison”.
Entre le général Camille Makosso et l’artiste ivoirien Debordo Leefunfa, ce n’est pas le grand amour. Dès les premières heures de la triste nouvelle, l’artiste coupé décalé avait commencé par exiger une autopsie sur le corps de la défunte afin que les réelles cause de son décès soient révélées.
« Tatiana Kosséré, famille Kosséré j’ai mal ! Mais Makosso on va finir de pleurer, on va s’expliquer !!! C’est trop facile cette affaire !!! Je demande une autopsie du corps !!! », avait-il écrit sur sa page Facebook.
Bravant un communiqué de la Commission protestante évangélique qui dit avoir saisi le Procureur de la République afin de poursuivre en justice les accusateurs de Makosso pour diffamation, Debordo Leekunfa a encore publié un long message dans lequel il révèle que la défunte serait morte étranglée.
”Je vous informe que ce b… de Makosso a déplacé le corps de sa femme au kilomètres 17 sur la route de Dabou et figurez-vous que c’est un étranger qui a déplacé le corps !”, déclare-t-il.
Avant d’ajouter: ”L’autopsie révèle que la défunte a l’œil enflé et il y a des traces de mains au cou, comme quoi il y a eu étranglement. Les photos ont été prises par un officier de la police judiciaire. La suite, je vous en tiendrai informé”.
Pour boucler la boucle, Debordo Leekunfa a révélé que le révérend général Makosso veut faire porter la responsabilité de la mort de son épouse à la clinique qui s’est occupée d’elle.
Source: afrikmag