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Crise dans le transport malien : Marafa Touré à la Maison centrale d’arrêt, les familles fondatrices chez Ibk, et

A seulement quelques années de son début de mandat, Marafa Touré est confronté à la fronde des soutiens de Karim Kéïta, le fils du président de la République. Bien que faisant l’unanimité au sein de la corporation, contre toute attente, Marafa a été arrêté et conduit à MACA (maison centrale d’arrêt) ce mardi 17 février. Brusquement, Bagadadji et Niaréla se sont mis en ébullition. Il fut libéré avec un avertissement sans frais au Chef de l’Etat. Le monde du transport est en ébullition à cause de l’opposition de Souleymane Diallo dit Joli à tout ce qu’entreprend Marafa. Malgré ses bonnes œuvres. La ville de Bamako a failli être paralysée ce mercredi. Raison évoquée, l’arrestation jugée arbitraire par les partisans de Marafa. Tout serait parti d’un problème d’argent. Selon nos sources, battu lors de l’élection Joli, par l’aide de Karim Kéïta, veut forcer les choses. Alors, il entreprendrait depuis un certain temps à empêcher les actions de Marafa. Dans ces tentatives, il va mettre de l’huile sur le feu. C’est ainsi qu’il va porter plainte contre Marafa. Et sans aucune forme de procès, ce dernier sera cueilli comme un vulgaire individu et puis conduit à la MCA. Il n’a fallu que cet acte pour que les familles fondatrices se mettent en branle avec de nombreux chauffeurs. Et directement, ils montent à Koulouba. Reçus par IBK, ils lui auraient assaini certaines vérités. Entretemps, le président averti, aurait donné l’ordre à ce que Marafa soit immédiatement libéré. Ce qui avait été exécuté par les autorités pénitentiaires. Et sur le champ une convocation aurait été adressée à Joli. Il est introuvable et invisible depuis. Afin d’en savoir plus, nous nous sommes déplacés pour rencontrer les deux protagonistes. Au moment où nous sommes arrivés au petit marché de Médine, Marafa se trouverait derrière le fleuve pour calmer les chauffeurs qui voulaient débrayer. Où il a fallu l’intervention de la police pour calmer les ardeurs. A la place de Djélibougou où nous nous sommes rendu pour voir Joli, il nous a été indiqué qu’il a fui et qu’il recherché pour la police. Certainement pour les besoins de la cause. Quoi qu’il en soit, il serait opportun pour les autorités de circonscrire rapidement à ce malentendu afin de nous éviter un débrayage aux conséquences incalculables. Ousmane COULIBALY

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Le monde du transport est en ébullition à cause de l’opposition de Souleymane Diallo dit Joli à tout ce qu’entreprend Marafa. Malgré ses bonnes œuvres.
La ville de Bamako a failli être paralysée ce mercredi. Raison évoquée, l’arrestation jugée arbitraire par les partisans de Marafa. Tout serait parti d’un problème d’argent. Selon nos sources, battu lors de l’élection Joli, par l’aide de Karim Kéïta, veut forcer les choses. Alors, il entreprendrait depuis un certain temps à empêcher les actions de Marafa. Dans ces tentatives, il va mettre de l’huile sur le feu. C’est ainsi qu’il va porter plainte contre Marafa. Et sans aucune forme de procès, ce dernier sera cueilli comme un vulgaire individu et puis conduit à la MCA. Il n’a fallu que cet acte pour que les familles fondatrices se mettent en branle avec de nombreux chauffeurs. Et directement, ils montent à Koulouba. Reçus par IBK, ils lui auraient assaini certaines vérités. Entretemps, le président averti, aurait donné l’ordre à ce que Marafa soit immédiatement libéré. Ce qui avait été exécuté par les autorités pénitentiaires. Et sur le champ une convocation aurait été adressée à Joli. Il est introuvable et invisible depuis. Afin d’en savoir plus, nous nous sommes déplacés pour rencontrer les deux protagonistes.

Au moment où nous sommes arrivés au petit marché de Médine, Marafa se trouverait derrière le fleuve pour calmer les chauffeurs qui voulaient débrayer. Où il a fallu l’intervention de la police pour calmer les ardeurs. A la place de Djélibougou où nous nous sommes rendu pour voir Joli, il nous a été indiqué qu’il a fui et qu’il recherché pour la police. Certainement pour les besoins de la cause.
Quoi qu’il en soit, il serait opportun pour les autorités de circonscrire rapidement à ce malentendu afin de nous éviter un débrayage aux conséquences incalculables.
Ousmane COULIBALY

 

Source: Zénith Balé

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