Face à la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre notre pays et le Sénégal, des couloirs humanitaires seront créés ce vendredi 3 avril 2020 en vue de rapatrier au total 239 Maliens bloqués au Sénégal à l’aide de 6 cars de diverses compagnies de transport. Les opinions divergent de la gestion de ces couloirs humanitaires. D’aucuns invitent le gouvernement au confinement des intéressés pour éviter le cas d’« Air Coronavirus » disons du vol d’Air France du 20 mars dernier.
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Ils sont composés d’étudiants, de commerçants et d’autres simples citoyens.
HOTEL DE L’AMITIE : les employés crient à un licenciement abusif, et revendiquent leur droit
Ce mercredi 1er mars, une centaine de travailleurs de l’Hôtel de l’Amitié ont tenue un sit-in devant ledit établissement pour réclamer leur droit. Ils exigent des explications sur leur licenciement et réclament les arriérés de trois mois de salaire à la direction de l’établissement.
Le 1er mars dernier, une centaine de travailleurs de l’Hôtel de l’Amitié ont tenu un sit-in devant ledit établissement. Ils ont à travers ce sit-in dénoncé leur licenciement qu’ils jugent abusif et réclamé les arriérés de trois mois à l’administration de l’hôtel.
« Je travaille à l’Hôtel de l’Amitié depuis 16 ans comme beaucoup de mes collègues, hier la direction nous a convoqué pour nous faire part de cette décision. C’est avec la nouvelle direction de l’Hôtel qui ne connait rien d’ailleurs à l’hôtellerie en complicité avec notre DRHF et le directeur d’exploitation qui se sont rendus à l’Inspection du travail pour manigancer ce complot. Ils ont alors fait une liste de 101 personnes qui ne doivent plus mettre les pieds à l’hôtel. Nous avons tous des documents juridiques d’embauche », a affirmé Simbo Keïta, porte-parole des victimes.
Pour M. Keïta, les travailleurs ne savent rien des causes de ce licenciement « abusif »
« Nous ne savons rien des causes de ce licenciement, parce que nous n’avons même pas reçu de lettre », regrette-t-il.
En plus de ce licenciement, les travailleurs réclament des impayés de trois mois à la direction de l’établissement.
« Nous sommes à trois mois sans salaire, même les salaires actuelles ne sont pas encore payés, pourtant nous sommes des pères et des mères de familles », lance un travailleur
Selon nos sources cette décision serait liée aux mesures de prévention prises contre la maladie à coronavirus de fermer les restaurants et les bars qui sont les nerfs des établissements hôteliers.
Ce qui est loin de convaincre, les victimes s’inquiètent de leur sort après l’éradication du virus.
A les en croire, ce n’est qu’une combine de la nouvelle direction pour se débarrasser des employés.
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