Illégalement attribués à des entreprises nationales et étrangères, puis annulés pour défaut de sincérité, ces marchés à l’origine des poursuites contre l’ex-ministre Madame Fily Bouaré, ont pourtant été de nouveaux réattribués et désormais en cours d’exécution, par les mêmes entreprises sans la moindre correction. Et l’un des protagonistes, cerveau du frauduleux montage, haut fonctionnaire à la DFM concernée, a été «autorisé» à quitter le pays.
La machine d’État en panne et/ou complice ?
Source : le sphinx