L’Organisation pour la Valorisation et l’Épanouissement de l’Enfant, OVEE a tenu à son siège sise à Moribabougou Carrière ce 14 décembre une rencontre pour débattre sur la thématique  » comment sortir les enfants de la rue ». En plus du Président, M. Diarra, M. Hiler et membres de l’OVEE, la rencontre a été animée par des journalistes, enseignants, pasteurs et consultant.

Selon le président de l’OVEE, ladite rencontre s’inscrit dans la réalisation de leur objectif notamment de faire sortir les enfants de la rue à savoir ceux qui font la mendicité , ceux qui vivent dans la rue et qui n’ont qu’elle comme seul demeure. C’est dans ce cadre que nous avons appelé à d’autres personnalités afin de connaître leur position par rapport au phénomène. ». D’autre part, « Nous avons retenir que les causes de ce phénomène sont entre autres : la démission des parents, la pauvreté, l’effet de la nouvelle technologie, le manque de sensibilisation, la facilité du gain » il a certifié qu’à travers le débat. La formation soit continue avec un suivi . Il suggère qu’il y a un sensibilisation suivit d’une formation et la réinsertion. « Si ces très choses sont prises en compte, Il y a forte chance de régler ce phénomène.» A-t-il ajouté.

Pour clore son intervention, il appel tous les citoyens a se préoccuper de ce problème en se posant des questions la sur leur évolution, à savoir si « le nombre de ces enfants augmente ou dimuni ? Où partent ces enfants qui ont grandis dans la rue ? Que sont ils devenus ? Car quand ces derniers arrêtent la mendicité ils font d’autres choses qui nous concerne tous. J’invite tous les sensibles à faire confiance à OVEE, nous travaillons la dessus et avons des idées» a declaré le président de l’OVEE.
Que « C’est très important car ça touche les enfants et tous se qui touche les enfants me concerne. Moi mon domaine c’est les enfants. C’est un grand phénomène qu’on voit de plus en plus maintenant à Bamako et voir même ailleurs. Ça sera bien de faire quelque chose pour les sortir de là. Je soutien l’organisation, C’est pour nous en temps que parent » a laissé entendre Mme Keïta Doua Sidibé, promotrice de l’école les Winnie sis à Sotuba. Elle a proposé également « de faire une rencontre avec les parents, voir ce qu’on peut faire ces enfants éventuellement mettre ces enfants dans un centre de formation afin qu’ils apprennent un métier d’avenir.
M. Hiler a précisé que les premières activités de l’OVEE en 2020 se focaliseront sur la sur la sensibilisation.

Ibrahim Binaté

EchosMedias