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Docteur Cheick Modibo Diarra : “Je suis revenu au pays pour le servir et non pour me servir”.

C’est ce qu’a déclaré, samedi Cheick Modibo Diarra au cours du lancement de sa campagne au stade du 26 mars.

Ce lancement de campagne a regroupé les représentants des associations, des partis politiques et les bénéficiaires du projet Pathinder qui soutiennent le  leader et le candidat, à l’élection présidentielle, du Rassemblement pour le développement du Mali (RpDM).Cheick Modibo Diarra

Après les témoignages et les messages de soutien de ses fans, Cheick Modibo Diarra a expliqué les tares de notre société. Avant de dévoiler ses ambitions pour le Mali.

La formation de qualité et la  création d’emploi pour  tous les jeunes du Mali, l’amélioration des conditions de tous les travailleurs à travers l’augmentation des salaires, l’accès de tous à la santé, la révolution agraire,  la sécurité des Maliens, le renforcement de l’autorité de l’Etat, sont les axes majeurs de son projet de société à travers lequel, il rêve d’apporter, au Mali et aux Maliens, un « changement de rupture».

Rappelons que Cheick Modibo Diarra, navigateur interplanétaire de son état, a été nommé Premier ministre de la transition avant d’être contraint à démissionner pour des raisons qui restent encore à élucider. Une situation que le candidat n’arrive pas, apparemment, à digérer. C’est pourquoi il n’a pu s’empêcher de répondre à ses détracteurs. «Je suis rentré au pays pour le servir et non pour me servir ».

Conscient qu’une  personne seule ne peut faire face aux défis, Cheick Modibo Diarra prône l’union et la cohésion sociale. «Aujourd’hui, le Mali a besoin des forces de tous ses enfants», a-t-il martelé avant d’exhorter les leaders religieux à multiplier les séances de prière afin que le Mali retrouve ses repères.

Notons qu’en cette période de campagne électorale, Cheick Modibo Diarra passe le clair de son temps entre les différents marchés, afin de s’enquérir des prix des denrées de premières nécessités et des équipements agricoles.

Selon lui, l’une des préoccupations essentielles des Maliens reste l’autosuffisance alimentaire. Aussi, il fait partie de ceux qui pensent que le décollage du Mali passe par le développement et l’industrialisation du secteur agricole.

 

Abou Berthé

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