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Chantage aux roquettes : Quand la France rechigne à quitter le Mali !

Qui veut faire croire que le Mali vit ses jours post-Barkhane dans l’apocalypse ? Qui cherche à démoraliser notre peuple et son armée ? Qui est si jaloux de la montée en puissance de l’Armée malienne ?

Les récentes attaques de Kolokani, Douentza, Koro, Sévaré, Ségou, Kati…témoignent de la volonté de déstabilisation d’une puissance étrangère qui s’est humiliée au Mali et dans le Sahel par sa duplicité et son incompétence politique et militaire.

Les actions en cours dans la déstabilisation de notre pays sont liées au départ annoncé de la France, et c’est elle qui active ses réseaux dormants qu’elle a pris soin de mettre en place dix ans chez nous et dans l’ensemble du Sahel où elle c’était promise de rester militairement pendant les cent (100) prochaines années.

Les revendications du JNIM ou autres Katiba de Macina ne sont que des attrapes- nigauds. D’ailleurs les raisons invoquées pour ces attaques, à savoir la présence de Wagner au Mali, jettent une lumière supplémentaire sur leur commanditaire. Elles sont les fils qui relient la France au terrorisme en Afrique, au Mali en particulier.

L’ennemi de notre pays est identifié depuis longtemps par les populations, les Chantages en cours aux roquettes ont lieux parce que la France rechigne à quitter le Mali.

C’est aux pouvoirs publics maintenant de passer à une nouvelle phase de la lutte pour notre souveraineté. Il faut procéder à la mobilisation générale des forces positives du pays pour amplifier la lutte multiforme pour la libération nationale.

Tirons les leçons de la crise algérienne des années 80 avec le FIS et le GIA dans le rôle Iyad Aghaly et Amadou KOUFFA.

Source: L’Aube

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