Les partis politiques et la plateforme religieuse, c’est-à-dire les leaders des communautés catholique, protestante et musulmane, ont publié une déclaration commune dans laquelle ils qualifient «d’inopportun» le déplacement à Brazzaville pour régler «le problème centrafricain» préférant que cela se fasse depuis le pays et non à l’ « étranger ».
Pour l’heure seule une poignée de partis politiques ont indiqué être prêts à se rendre à Brazzaville alors qu’une autre rencontre est prévue pour se tenir d’ici à la semaine prochaine.
Rappelons que dans l’histoire récente des règlements de conflits à l’extérieur, qu’en janvier 2014, le CNT avait été amené par avion à Ndjamena, capitale du Tchad, pour entériner la démission de Michel Djotodia, l’opinion avaient globalement perçu cette manœuvre comme un viol de la souveraineté.
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