Dans le cadre de sa campagne pour soutenir les verres consignés, BRADIBO a procédé le vendredi 19 janvier 2018, au lancement de sa promo capsules intitulée « Concours jeu capsule (JCC 2018) » pour promouvoir ses produits en verre consigné. C’était au Grand Hôtel de Bamako, en présence des responsables commerciales de la société ainsi que les vendeurs détaillants, les grossistes et les consommateurs.
Cette promotion se déroulera du 15 janvier au 30 mars 2018. Ce jeu a pour objectif de promouvoir ses produits en verre consigné. Ainsi, les produits concernés sont Coca-Cola, Fanta, Sprite, Djino Ananas, Djino Pomme et Djino Tonic. Par ailleurs, le principe de ce jeu est très simple.Il suffit d’acheter une bouteille et soulever le joint pour voir à l’intérieur s’il ya un lot gravé. Plus de 50.000 lots sont à découvrir sous ces capsules de 30 cl, mais le gros est un véhicule. Aussi, pour les lots intermédiaires, les heureux gagnants ont la possibilité d’échanger leurs capsules soit au niveau des points de vente, s’il s’agit des bouteilles gratuites, chez les distributeurs agrées pour les tee-shirts et les bons de carburant. Bradibo et ces centres de distributions se chargeront de la voiture et des motos. Donnant les raisons de cette promotion, le directeur commercial et marketing de Bramali, Hyacinthe Amegnaglo, a expliqué que ce jeu capsule en début d’année, est faite pour souhaiter une bonne année aux consommateurs de la société. Plus loin, il dira qu’à travers ce jeu, ils cherchent l’augmentation de vente des verres consignés qui sont en baisse depuis un certain temps sur le marché.
« Les critères de cette année sont simples par rapport aux autres années. Lors des jeux précédent, il fallait acheter plusieurs bouteilles, rassembler les capsules pour avoir la chance de gagner. Mais pour cette fois-ci, vous achetez juste une bouteille, vous soulevez la capsule et gagnez le lot gravé à l’intérieur », a précisé M. Amegnaglo. Rappelons que l’heureux gagnant du grand lot de ce jeu recevra son cadeau sur un public.
Ousmane Baba Dramé
Source: Le Républicain