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Cameroun : TOMBI A. ROKO ELU PRESIDENT DE LA FECAFOOT

equipe joueurs camerounais footballeursElu par 59 voix contre 2, pour son challenger immédiat Robert Atah, 4 bulletins nuls, 8 bulletins blancs, Tombi A Roko Sidiki, originaire du Mbam-et-Inoubou, dans la région du Centre, est le nouveau patron de la Fécafoot. Il y avait dans la salle des travaux de l’assemblée générale élective, 74 délégués sur les 76 attendus, avons-nous pu constater. L’élection du nouveau président de la Fécafoot, met fin à un feuilleton électoral riches en rebondissements, qui aura duré deux ans (25 mois), et suscité des passions et des rancœurs.

Il comptait parmi ses colistiers, quelques poids lourds du football camerounais. Notamment, l’ancien international Geremi Sorel Njitap, Pierre Batamack, Essomba Eyenga, Mveng Ella, Wembe Samuel, Mbella Mocki Charles, Abbo Mohamadou, David Mayebi et bien d’autres. C’est le 27 novembre 2014 que Tombi A Roko Sidiki, a présenté sa candidature pour la présidence de la Fédération camerounaise de football. Le nouveau président de la Fécafoot, aura été de 1978 à son élection, footballeur, président de club, trésorier de la ligue régional de football du Centre, président par intérim de la même ligue, membre de nombreuses commissions au sein de la fédération, membre du comité exécutif et depuis 5 ans il occupait le poste de secrétaire général de la Fécafoot. Pendant toutes ces années au service du football, il a acquis une expérience certaine, dont la Fécafoot aura besoin.
Le successeur d’Iya Mohammed, est un homme de terrain, ayant été au cœur des péripéties du football camerounais. Tombi A Roko Sidiki, est marié et père de plusieurs enfants.

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FIFAgate : LE SORT DE BLATTER ET PLATINI SUSPENDU AU VERDICT DE LA COMMISSION D’ÉTHIQUE

Stop ou encore pour Blatter à la tête du football mondial ? Le Suisse pourrait être poussé vers la sortie par la commission d’éthique de la Fifa cette semaine, et celle-ci pourrait faire une autre victime avec Platini, ébranlé par un versement suspect de 2 millions de francs suisses reçu du Valaisan. Officiellement, la commission n’a pas confirmé avoir été saisie : « La commission d’éthique a un calendrier établi, mais il n’est pas public », a répété Andreas Bantel, son porte-parole, refusant « de confirmer ou d’infirmer » les informations concordantes de nombreux médias en Europe.
Le règlement de la commission d’éthique est clair : l’article 36 lui interdit de dire si une enquête est ouverte, et de donner les identités des personnes visées. Mais à Bantel d’expliquer que « si il y a un soupçon initial, la chambre d’investigation de la commission lance une procédure formelle », et que « ces règles s’appliquent à toutes personnes du monde du football, quels que soient leurs noms ou leurs fonctions ». Ce « soupçon » pourrait-il être basé sur ce « paiement déloyal » de Sepp Blatter à Michel Platini épinglé vendredi par le ministère public suisse, un versement exécuté en février 2011, « prétendûment pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 »? Une certitude : cette même commission d’éthique n’avait pas lambiné en mai, mettant à peine 24 heures pour suspendre tous les hauts dirigeants de la Fifa interpellés le 27 au matin à Zurich à la demande de la justice américaine, sur fond de soupçons de corruption.

Liberia, Bility : « LA FIFA N’A PLUS L’AUTORITE MORALE POUR ORGANISER DES ELECTIONS »
A nouveau ébranlée par l’ouverture d’une procédure pénale visant son président Sepp Blatter pour « gestion déloyale », la FIFA navigue en eaux troubles à quelques mois de l’élection de son nouveau président, prévue le 26 février 2016. Certaines voix s’élèvent pour demander le report du scrutin, le temps que le ménage soit fait dans l’instance dirigeante du ballon rond. Parmi ces voix, celles de Musa Bility, candidat déclaré à la présidence. « Les personnes en charge de la FIFA ne sont plus aptes à être celles qui vont organiser des élections crédibles », estime le président de la Fédération libérienne, interrogé par la BBC. « Organiser une élection à la FIFA maintenant est le meilleur moyen de bâtir un modèle qui mènera à un autre désastre », redoute-t-il. « Cette fois, la FIFA a perdu son autorité morale pour organiser des choses telles que des réformes ou des élections. J’appelle ses dirigeants à organiser immédiatement un congrès extraordinaire pour donner le mandat de faire des réformes à un organisme neutre », exhorte le dirigeant. « Ça ne peux pas continuer comme ça. C’est une crise qui doit changer le football. Nous ne devons pas laisser passer cette bonne opportunité », conclut-il.

source : Essor

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