L’espoir suscité par la Société de Patrimoine Ferroviaire du Mali (SOPAFER) aussi bien sur le plan national qu’international s’enlise de jour en jour. Le désespoir se lit sur le visage des cheminots qui n’arrivent plus à « joindre les deux bouts » à cause des difficultés financières.
Au regard de la complexité des choses au sein de la Société de Patrimoine Ferroviaire du Mali (SOPAFER), si les nouvelles autorités de la Transition veulent trouver des solutions aux différents défis, le « bout du tunnel » n’est pas pour demain. Depuis un certain temps, la gestion des fonds générés par les baux dans le domaine ferroviaire fait l’objet de grincements de dents. Les uns et les autres pointent un doigt accusateur sur le Directeur Général de la Société de Patrimoine Ferroviaire (…)
Tougouna A. TRAORE
NOUVEL HORIZON