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BM : une autre voix de l’impérialisme ?

Après la France, le Danemark, l’UE, une autre voix de l’impérialisme mondiale vient de faire ses valises : la Banque Mondiale. L’objectif inavoué étant d’asphyxier économiquement notre pays. Avec ce départ annoncé, c’est un nouveau pas qui vient d’être franchi dans la campagne internationale d’isolement menée par l’ex-puissance coloniale et ses alliés de la CEDEAO et de l’UEMOA contre notre pays. En tout cas, sur les réseaux sociaux les internautes rassurent qu’il n’y pas de péril en la demeure. Ils invitent plutôt nos autorités à prendre leur distance avec ces Institutions qui sont à la solde de l’impérialisme occidental. 

 

Ashley Leïla MAIGA : Ayiwa ! Où est Choguelito… Apparemment malgré ses cris d’orfraie et son grand boucan, la pression ne baisse pas ! La Banque mondiale vient de suspendre ses décaissements en faveur de notre pays, car le Mali n’arrive pas à payer sa dette publique extérieure !

Etse Alexandre : on constate avec facilité que certains Africains comme toi ne pourraient pas diriger leur peuple sans l’aide extérieure, et se plaignent de la plus petite rupture de fonds. Dommage !

Mohamed lamine Ballo : ne semez pas la panique Charles Darwin disait « Ce n’est pas l’espèce la plus forte ou la plus puissante qui survit, mais celle qui s’adapte aux changements « on va s’habituer.

Malick KONATE : la Banque mondiale a décidé de suspendre ses décaissements en faveur des projets et programmes qu’elle finance au Mali en raison de l’accumulation des échéances au titre du service de la dette publique extérieure pendant plus de 45 jours.

Guerrier Mandingue : le Mali va s’en sortir sans la Banque Mondiale, d’ailleurs, aucun pays du monde ne s’est développé en suivant les programmes du FMI et de la Banque Mondiale qui ont été créés pour appauvrir les pays du tiers monde.

Ségah DIARRA : escalade des sanctions : la banque mondiale ferme les robinets. La politique d’asphyxie économique de l’UEMOA s’est donc montrée inefficace puisqu’elle n’a pas réussi à contraindre les militaires à trouver un «modus vivendi» avec la CEDEAO.

Bassirou DIARRA : 1 challenge ! battre une monnaie. Si le Mali gère bien, avec transparence et responsabilité, il peut se passer de la BM tels l’Algérie et d’autres pays. La BM et le FIM n’ont jamais développé un pays au contraire, ils endettent et enfoncent avec des PAS affaiblissants les États.

Enfant du Sahel : ces sanctions ont plutôt créé un modus operandi qui pousse de jour en jour le Mali vers les pays partageant le même destin, telles que la Russie, la Chine, l’Iran, la Corée du Nord, etc. Aucun pays francophone ne peut prétendre à l’indépendance et espérer de l’occident.

Le Mali sait qu’aujourd’hui il est condamné à quitter le bloc occidental pour son bonheur. Tenir tête à la France, à l’Allemagne, au Danemark, etc. avec des discours-chocs au pupitre des Nations Unies et vouloir rester dans le Franc CFA avec des attentes des Occidentaux est une utopie.

Traoré Alassane : la banque mondiale a développé quel pays africain ? Zéro ! Ce sont des instruments de l’impérialisme pour maintenir nos pays dans la souffrance et la misère.

Bréhima Arama : Nous ne sommes pas des mendiants, tant que Dieu nous donne de la pluie et l’air nous allons vivre à notre manière.

Seydou Maïga : avant l’arrivée prochaine de Good Luque Jonathan, la banque mondiale se manifeste.

Koné Daouda Senousrê : ça y est ! Les nantis commencent à flipper ! Pourtant, l’embargo djihadiste a duré des années sur nos innocentes populations villageoises. Ha, ce sont des Maliens de seconde zone. Elles ne représentent rien à part la pauvreté.

Pleur Du Pauvre : arrêtons de pleurnicher, nos parents ont vécu honorablement en ignorant des projets et autres ….

Source : Info-Matin

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