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Tout est parti quand l’agent de police devant contrôler les pièces des passagers du taxi a décidé de les laisser partir. A ce dernier, la jeune gendarmette avait bien montré sa carte professionnelle, mais le chef de la patrouille ou chef de poste, depuis leur pick-up, ayant aperçu l’habillement de la jeune gendarme à travers les fenêtres du taxi, se saisit personnellement de l’affaire :’‘Toi qui es l’un des nôtres (forces de sécurité), dois-tu t’habiller de la sorte’’, a-t-il lancé avant de demander à la demoiselle gendarme de monter dans le pick-up où étaient assis d’autres civils : ‘‘Si tu ne montes pas, je leur dis tout de suite de t’embarquer’’, a ajouté le chef de poste.
L’habillement de la gendarmette en question ? D’une robe de soirée, elle laissait tout de même voir par-dessus de ses genoux et compte tenu du froid elle avait sur elle un jacket portant les insignes de la gendarmerie nationale. Et la demoiselle, instinct de femme aidant et pour ne pas faire venir plus de curieux spectateurs, s’y laisse faire.
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Banale histoire oui, mais une situation qui prouve à suffisance le manque de solidarité entre les éléments de forces de solidarité. Un policier qui a du mal à établir la confiance entre lui et ses frères d’armes doit-il s’attendre à quelque chose de la part de la population. Pas forcément !
Pour d’autres témoins de la scène, le policier dont l’attitude a été mise en cause par tous ses compagnons présents, était sans doute en état d’ébriété pour agir de la sorte.
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Source: La Sirène