Des témoins joints sur place ont confirmé que le Général Cyrille Ndayirukiye, l’un des cerveaux du putsch avorté du 17 mai aurait été violemment passé à tabac, avant d’être ligoté lundi dernier.
Ses autres compagnons d’infortune auraient subi le même sort. Face à ces mauvais traitements infligés aux présumés putschistes, les autres pensionnaires de cette prison se sont révoltés. Joint par Fiacre Ndayiragige, notre correspondant à Bujumbura, le Directeur de la prison de Gitega a confirmé que c’est la mesure d’isolement de ces présumés putschistes,qui a mis le feu aux poudres.
Source: DW