Les Forces Armées Maliennes (FAMAs) ont été la cible des terroristes, le lundi 30 septembre et le 1er octobre 2019, à Mondoro et Boulkessi, des localités situées au Centre du pays (Mopti), frontalières avec le Burkina Faso. Dans un communiqué officiel, on parle de vingt-cinq (25) tués et une soixantaine de soldats disparus en plus d’énormes pertes en matériels. Inquiétés, les femmes et les enfants des soldats sont sortis, hier mercredi 2 octobre, dans l’après-midi, pour demander des nouvelles de leurs parents. Une manifestation qui rappelle celle de mars 2012, sous Amadou Toumani Touré (ATT) et qui s’est soldée par l’effondrement de tout le pays. Fort heureusement qu’il y a eu plus de peur que de mal.
Des bilans évoqués, on note outre, les pertes en vies humaines et les portés disparus, des pertes importantes de matériels de guerre notamment des véhicules équipés, des caissons de munition et d’autres armes.
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Par Mahamane TOURÉ
Source: nouvelhorizonmali
Tags: Amadou Toumani TouréMopti