Ce mardi 19 septembre, Emmanuel Macron s a prononcé son premier discours à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies.
Ce mardi 19 septembre, Emmanuel Macron s a prononcé son premier discours à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies. « Je sais que le devoir de la France est de parler pour ceux qu’on n’entend pas. Car parler pour eux, c’est aussi parler pour nous (…)
. Ce sont ces voix oubliées que je veux porter », a déclaré le président de la République, en évoquant tout d’abord la crise en Syrie.
« Le migrant est devenu le symbole de notre époque »
« Le peuple syrien a assez souffert », a-t-il déclaré. « Agir pour la paix en Syrie, c’est agir pour le peuple syrien mais aussi pour nous protéger tous ». Il a notamment annoncé que la France fera preuve d’une « intransigeance absolue sur l’emploi des armes chimiques » et sur « l’absolue nécessité d’aménager les accès au soin pour tous ».
Puis, Emmanuel Macron a déclaré que la sécurité doit devenir la « première priorité », alors que le « terrorisme a frappé sur tous les continents quelle que soit leur religion ». Après avoir évoqué la menace terroriste au Mali, il a parlé des migrants et des réfugiés. « Le migrant est devenu le symbole de notre époque », a-t-il annoncé. Au siège de l’ONU, Emmanuel Macron a également évoqué la crise des Rohingyas, en Birmanie. Il a condamné un « nettoyage ethnique ».
En outre, Emmanuel Macron a fait une annonce : « la France consacrera 0,55% de son revenu national d’ici 5 ans à l’aide publique au développement ». Tout l’enjeu, c’est que cette « aide publique au développement arrive bien sur le terrain », a jouté le chef de l’Etat.
L’accord de Paris, la Corée du Nord, l’accord iranien et le multilatéralisme
Contrairement à Donald Trump, Emmanuel Macron a abordé le sujet de l’accord de Paris sur le (…)
Source: Yahoo