Suite à l’évolution tardive de l’application de l’Article 39 du personnel enseignant par les autorités maliennes, les syndicats de l’Éducation signataires du 15 octobre 2016 à travers un communiqué indiquent avoir adressé une lettre au Premier ministre, Boubou Cissé, pour signaler la lenteur dans la mise en œuvre du procès-verbal de conciliation. Ils menacent de s’assumer en cas de non-respect strict des délais convenus avec le Gouvernement.
En effet, dans une lettre adressée au Premier ministre, Boubou Cissé, les syndicats de l’Éducation signataires du 15 octobre 2016: « le Syndicat des Professeurs de l’Enseignement Secondaire des Collectivités (SYPESCO), le Syndicat National de l’Éducation de Base (SYNEB), le Syndicat National des Enseignants Fonctionnaires des Collectivités Territoriales (SYNEFCT), le Syndicat Libre et Démocratique de l’Enseignement Fondamental (SYLDEF), la Fédération Nationale de l’Éducation, des Sports, des Arts, de la Recherche et de la Culture (FENAREC), le Collectif des Syndicats de l’Enseignement Secondaire (COSES) constatent avec amertume la lenteur dans la mise en œuvre de l’application de l’Article 39 déjà convenue avec les autorités maliennes.
Dans leur communiqué, les syndicalistes ont rappelé que suite à un accord trouvé avec les autorités maliennes, le 17 juin 2020, il était convenu et signé un procès-verbal de conciliation avec le Gouvernement qui s’est engagé à respecter les conventions. »
Aussi, disent les enseignants, « dans le procès-verbal de concilions, les parties ont convenu de fixer la date d’application de cet accord sur le salaire du mois d’août 2020 avec le rappel des arriérées de 2020 ».
Toutefois, précisent-ils, ‘‘en cas de difficultés, le paiement interviendra sur celui du mois de septembre 2020.
pour ce qui concerne les arriérées de 2019, le paiement interviendra un mois après l’alignement ou au plus tard celui qui suivra ce dernier.’’
Les enseignants se disent être surpris que jusqu’aujourd’hui, le Gouvernement malien ne s’est plus mis dans la logique de la mise œuvre de l’accord conclu. «Nous nous assumons en cas de non-respect strict des délais convenus avec le gouvernement», ont-ils averti.
C’est pourquoi ils ont adressé une lettre pour attirer l’attention des autorités sur la lenteur dans la mise en œuvre du Procès-verbal de conciliation relatif à l’application de l’Article 39 du statut du personnel enseignant de l’enseignement secondaire, de l’enseignement fondamental et de l’éducation préscolaire et spéciale.
Suite à l’évolution tardive de l’application de l’Article 39 du personnel enseignant par les autorités maliennes, les syndicats de l’Éducation signataires du 15 octobre 2016 à travers un communiqué indiquent avoir adressé une lettre au Premier ministre, Boubou Cissé, pour signaler la lenteur dans la mise en œuvre du procès-verbal de conciliation. Ils menacent de s’assumer en cas de non-respect strict des délais convenus avec le Gouvernement.
En effet, dans une lettre adressée au Premier ministre, Boubou Cissé, les syndicats de l’Éducation signataires du 15 octobre 2016: « le Syndicat des Professeurs de l’Enseignement Secondaire des Collectivités (SYPESCO), le Syndicat National de l’Éducation de Base (SYNEB), le Syndicat National des Enseignants Fonctionnaires des Collectivités Territoriales (SYNEFCT), le Syndicat Libre et Démocratique de l’Enseignement Fondamental (SYLDEF), la Fédération Nationale de l’Éducation, des Sports, des Arts, de la Recherche et de la Culture (FENAREC), le Collectif des Syndicats de l’Enseignement Secondaire (COSES) constatent avec amertume la lenteur dans la mise en œuvre de l’application de l’Article 39 déjà convenue avec les autorités maliennes.
Dans leur communiqué, les syndicalistes ont rappelé que suite à un accord trouvé avec les autorités maliennes, le 17 juin 2020, il était convenu et signé un procès-verbal de conciliation avec le Gouvernement qui s’est engagé à respecter les conventions. »
Aussi, disent les enseignants, « dans le procès-verbal de concilions, les parties ont convenu de fixer la date d’application de cet accord sur le salaire du mois d’août 2020 avec le rappel des arriérées de 2020 ».
Toutefois, précisent-ils, ‘‘en cas de difficultés, le paiement interviendra sur celui du mois de septembre 2020.
pour ce qui concerne les arriérées de 2019, le paiement interviendra un mois après l’alignement ou au plus tard celui qui suivra ce dernier.’’
Les enseignants se disent être surpris que jusqu’aujourd’hui, le Gouvernement malien ne s’est plus mis dans la logique de la mise œuvre de l’accord conclu. «Nous nous assumons en cas de non-respect strict des délais convenus avec le gouvernement», ont-ils averti.
C’est pourquoi ils ont adressé une lettre pour attirer l’attention des autorités sur la lenteur dans la mise en œuvre du Procès-verbal de conciliation relatif à l’application de l’Article 39 du statut du personnel enseignant de l’enseignement secondaire, de l’enseignement fondamental et de l’éducation préscolaire et spéciale.
En tout état de cause, (…)
Par Abdoul Karim SANOGO- NOUVEL HORIZON