L’Institut des sciences politiques relations internationales et de communication (Ispric), du tout-puissant Mohamed Gakou, a du fil à retordre, après son refus de rencontrer l’huissier des victimes de la promotion DEA 8.
En effet, ces derniers entendent lui faire comprendre que la sommation interpellative n’est qu’une phase préliminaire de la procédure et que même, au cas où il refuserait de rencontrer l’huissier sur ladite question , ce denier fera mention de son refus de rencontrer un officier judicaire pour formalisation d’acte et fera mention dans son procès-verbal, qui sera déposé dans ladite procédure pour montrer la mauvaise foi du Directeur général de l’Ispric.
Il est évident qu’il ne saurait ni disconvenir, ni ignorer avoir organisé des examens de la 2ème session, le petit oral, le grand oral et les soutenances, quelques heures après la proclamation des résultats de la 1ère session ; et qu’aucun calendrier n’était établi afin que les étudiants puissent se préparer. Aussi, que les étudiants ont été évalués par des professeurs outre que leurs directeurs de mémoire, en leur absence.
Mais hélas, ce que le directeur de l’Ispric oublie, c’est que sa fuite en avant, ne saurait prospérer, car cela ne fait que réconforter davantage sa mauvaise foi.
Seyni TOURE
Source: Le Reporter