présidentielle, le président Tréta, n’a aucune base politique pour lui, à sa disposition sur
laquelle il prétendrait conduire son parti et la majorité présidentielle.
Inconnu au bataillon politique du RPM en CV où il ne détiendrait aucun poste ni à la sous-
section ni à la section, donc incapable de tenir la tête au président Timbiné en ce qui
concernerait une hypothétique candidature aux législatives sur la liste RPM.
Bocar Tréta se serait rabattu vers Tenenkou son bled natal. À ce niveau aussi, absolument rien pour lui.
Face à Abderrahmane Niang, le président de la Haute Cour de Justice et natif de Tenenkou, il
n’obtient que des larmes. Ce dernier aurait, semble-t-il, préféré former son duo législatif
avec un candidat URD. Donc, sans doute, certain de faire le plein avec ses opposants qu’avec
une hypothétique candidature d’un Bocar Tréta qui ne serait capable de mobiliser le
moindre militant ou simple villageois pour défendre sa cause ne serait-ce que politicienne.
Un avenir politique à la tête du RPM ?
Selon des analystes chevronnés de la place, le Dr Bocar Tréta bénéficie juste d’un sursis
politique. Au prochain renouvellement, il se ferait proprement virer par le vice-président de
L’AN, l’honorable Timbiné.
À sa décharge donc.
selon de très proches du régime, le président Bocar Tréta ferait l’objet d’une adversité prête
ou qui ne dirait pas son nom. Cette guerre à outrance qui lui est livré au sein de son propre
parti, serait commanditée directement du haut, donc du grand patron, le président IBK. À
tort ou à raison, un jour le Dr Tréta personnellement en parlera. En attendant, il n’est un
secret pour personne que ces deux hommes ne se sentent pas, même s’ils font dans du
semblant. Et cette animosité ou adversité entre Keïta et Tréta serait perceptible même au
sein du bureau politique national. Tous ceux qui aspirent à de hautes fonctions politiques
ou administratives, évitent soigneusement le président Tréta, et ceux qui pour des raisons
de sympathie politique par rapport au courage de Tréta, seraient connus et traités comme
tels. En pré conclusion, le Dr. Tréta à notre humble avis, après ces législatives, devrait
prendre les devants en démissionnant totalement du RPM pour l’URD de Soumaïla Cissé si, il
caresserait toujours dans le sens de son destin politique, de son avenir politique immédiat.
Sinon, ces législatives 2020 sonnent l’imminence de sa très prochaine disgrâce politique au
RPM. Le travail a commencé et sera rondement mené.
À suivre
Alpha Cheick Sow