Selon un communiqué des deux états-majors, les différentes actions ont permis de “neutraliser une centaine de terroristes” et d’”appréhender une vingtaine d’individus suspects”, expliquent les dans un communiqué.
Par ailleurs, quatre militaires burkinabè ont également été tués, au cours de cette opération, dans l’explosion d’un engin explosif improvisé, dans l’est du Burkina, poursuit le communiqué.
Selon toujours ce communiqué, pour cette opération, “les forces armées nationales du Burkina Faso et du Niger ont chacune déployé plusieurs unités terrestres”, poursuivent les états-majors.
Au Mali, sept Casques bleus ont été tués et trois autres grièvement blessés le mercredi 8 décembre, par un engin explosif dans le centre du pays, selon Mali, a annoncé la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).
L’attaque est survenu au lendemain de l’annonce par la Minusma du décès, lundi à Dakar, d’un Casque bleu qui avait été touché dans l’explosion d’un engin explosif improvisé au passage de son véhicule, le 22 novembre près de Tessalit, dans le nord du Mali. La nationalité du Casque bleu n’a pas été précisée.
Qu’est-ce qui justifie la recrudescence de ces attaques djihadistes dans la région du Sahel : Niger, Burkina Faso, Mali, et plus récemment, au Bénin ? Quelles sont les actions á mettre en œuvre pour y mettre un terme ?
Eric Topona, en débat avec ses invités, sous l’Arbre à Palabre. Il s’agit de :
-Boubacar Salif Traoré, directeur d’Afriglob et spécialiste des questions de sécurité et de développement dans le Sahel.
-Emmanuel Dupuy, président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE).
-Mahamadou Sawadogo, ancien gendarme et spécialiste de l’extrémisme violent dans le Sahel.
Source: dw.com