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Bamako est devenu chaque jour un mort: Le Général Salif Traoré doit démissionner

La logique militaire nous enseigne que si un soldat effectue à moitié ou mal une mission confiée par sa hiérarchie, il sera automatiquement sanctionné selon les degrés et l’importance de la dite mission. Mais quant il s’agit d’un officier, et de surcroît un général de brigade, le débat change de forme et de fond. Et c’est pour cette discipline militaire que le général Wologueme s’est battu corps et âme avant sa mort.

La cruauté a atteint son paroxysme à Bamako: Le Général Salif Traoré doit démissionner

 

Aujourd’hui, les choses ont changé et plus personne ne se soucis guère de cette discipline qui est pourtant partie intégrante du métier d’armes. En effet, le Mali est notre pays à tous, sans exception aucune, et nous l’aimons tous.

Ces soldats et ces officiers sont aussi nos frères et sœurs, donc de la même famille. Et nous avons eu la chance d’avoir des hommes d’état issue des rangs de l’armée qui ont fait la fierté de tout le pays et qui continuent d’ailleurs de le faire.

Aussi, d’ajouter que nous avons un respect considérable pour ces «Messieurs» qui ont choisi de porter sur leurs épaules la lourde responsabilité de nous défendre et de défendre la nation toute entière. http://malijet.co/societe/assassinat-de-kalilou-coulibaly-comment-aboubacar-sacko-a-premedite-lassassinat-de-son-ami Mais, certaines exceptions nous oblige à rappeler à certains de ces «officiers» que d’être militaire ne suffit pas pour prétendre bien gérer une responsabilité importante et surtout de Ministre de la république.

En effet, c’est ce qui semble aujourd’hui être le cas du Géneral de Division Salif Traoré, nommé Ministre de la sécurité et de la protection civile, le général Traoré se présentait comme le profile idéal pour mener à bout cette mission de sécurité des personnes et des biens.

Au lieu de cela, c’est le contraire qui s’est produit avec l’augmentation de la criminologie, des attaques à main armée, des vols spectaculaires d’engins à deux roues…pour ne citer que ces points.

Que vaut la vie humaine à Bamako maintenant, cette question mérité d’être posé car les gens s’adonnent à des atrocités sans même réfléchir aux conséquences. *
Nous pouvons dire sans risque de se tromper que la vie à Bamako devient de plus en plus difficile à cause de l’insécurité grandissante. Durant le seul mois de Janvier l’on a enregistré quatre crimes odieux à Bamako. Si l’on doit continuer à rythme, Bamako serait invivable dans quelques mois seulement.

L’année 2019 a très mal commencé pour les habitants de Bamako, la Capitale malienne. En un seul mois, on a constaté avec beaucoup regret la commission de quatre (4) crimes odieux.

D’abbord celui de Kalilou dit Baba Coulibaly qui avait disparut le samedi 5 Janvier 2019. Il est trouvé mort et enterré dans un puits, le jeudi 10 Janvier 2019 après les investigations de la police. Selon les information Kalilou Coulibaly serait tué par son ami Bakary Sacko à cause d’une dette que le défunt a donné Mr Sacko qui n’a pas pu honorer ses engagements contractuels. Le défunt, Kalilou dit Baba Coulibaly, 52 ans, était un grand commerçant au grand marché de Bamako.

Samedi 19 janvier 2019, les bamakois se sont réveillés avec l’information de l’assassinat de l’imam de la mosquée Yattabaré de Missira, Abdoul Aziz Yattabaré. Selon les informations recueillies auprès des témoins et des agents de sécurités, c’est vers la veille de la prière matinale, qu’une personne appelée Moussa Guindo, âgé de 26 ans, né à Bio dans le département de Bouaké en Côte d’Ivoire, de Hadou et d’Aminata Dolo, a, pour se montrer hostile aux prêches contre les homosexuels, http://bamada.net/crime-odieux-a-bamako-un-passager-egorge-un-apprenti-chauffeur-a-niamakoro a assassiné cet imam. Ce, à l’aide de plusieurs coups de couteau. L’imam partait seul à la mosquée pour la prière matinale du jour. Le nommé Moussa Guindo est actuellement entre les mains de la justice.

Le jeudi 24 janvier vers 20h Oumar Touré vendeur des téléphones et des matériels informatiques reçoit la visite des malfrats chez lui à Yirimadjio ZRNI. Les bandits lui ont demandé de leur donner son sac qui contenait une grosse somme d’argents. Après s’être emparés de son sac, les bandits lui ont ensuite donné la mort à la suite d’une altercation parce que le défunt Oumar Touré ne voulait pas que les bandits emportent tout son argent.

Le samedi 26 Janvier 2019, aux environ de 19h, un passager qui est menuisier métallique de profession, a sauvagement égorgé un apprenti sotrama à la suite d’une altercation pour une affaire de jetons. Selon les policiers du 7ème Arrondissement trouvés sur place, https://niarela.net/societe/mali-assassinat-de-limam-abdoul-aziz-yattabare une histoire de jetons serait à l’origine de la bagarre entre le passager et l’apprenti. Dix autres apprentis sont venus venger leur collègue en lynchant le menuisier métallique pour son forfait.

La mauvaise éducation et l’impunité sont à l’origine de ces comportements criminels. Les autorités maliennes pour palier à ces genres de pratiques qui n’honorent pas notre société, http://malijet.co/societe/faits-divers/criminalite-a-bamako-braquage-du-supermarche-mini-prix-a-lhippodrome-sur-la-route-de-koulikoro doivent vraiment sévir.

Au lieu de cela, c’est le contraire qui s’est produit avec l’augmentation de la criminologie, des attaques à main armée, des vols spectaculaires d’engins à deux roues…pour ne citer que ces points.

Lynx

La Rédaction

 

Source: Koulouba.com

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