Avec une transition démocratique encore incertaine et un contexte sécuritaire toujours préoccupant, Serge Michailof, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), nous éclaire sur la situation malienne.
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Alors que les points de dissensions entre les gouvernements français et malien se multiplient depuis l’annonce du désengagement progressif de l’armée française du pays, l’annonce par Bamako de l’ouverture officielle de négociations avec les insurgés djihadistes n’a fait qu’exacerber des tensions déjà bien palpables. Ces 23 et 24 octobre, une délégation du Conseil de sécurité des Nations unies se rend au Niger et au Mali dans le but de pousser les autorités militaires au pouvoir à respecter leur engagement
Source : La Marseillaise