Le 1er janvier, 37 Peuls ont été massacrés dans le village de Koulogon, dans le centre du pays. Une tuerie qui s’ajoute à la longue liste de massacres perpétrés en 2018.
Comment expliquer l’escalade de violence entre Peuls et Dogon, deux communautés qui ont une longue tradition de cohabitation ? Issa N’Diaye, professeur de philosophie à l’université de Bamako, ancien ministre de l’éducation et de la culture, craint l’infiltration de mercenaires étrangers dans le conflit à des fins de déstabilisation du pays.
Source: lemonde