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Valérie Trierweiler : “J’aurais préféré une vie normale”

L’ancienne compagne du président François Hollande, Valérie Trierweiler, “confie” au”Parisien Magazine”, à paraître vendredi 31 janvier, être “plus dans la déception que dans la colère”, après sa séparation avec le chef de l’Etat, “mais, ajoute-t-elle, je n’exclus pas d’écrire un livre”.

 

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Dans ces confidences au “Parisien Magazine”, faites au cours de son déplacement en Inde en début de semaine, l’ex première dame affirme qu’elle “n’aimait pas les ors de l’Elysée”. “L’Inde, c’est un retour vers la liberté, loin du monde politique et de ses trahisons. Moi, j’assume ce que je suis, ce que je dis. On ne peut pas dire que je n’ai rien fait de bien en dix-neuf mois”, poursuit-elle.

“Dix-huit mots, presque un par mois passé ensemble”

Pendant tout le voyage, elle a répondu aux sms du président, écrit “Le Parisien Magazine”. “Il s’inquiétait de la bonne organisation du voyage et de ma santé”, dit-elle à l’hebdomadaire.

A propos de l’annonce par François Hollande, samedi, de la fin de leur relation, Valérie Trierweiler a ce commentaire: “Dix-huit mots, presque un par mois passé ensemble depuis son élection”. “Il faut être deux pour s’aimer mais il suffit d’un pour se quitter”, dit-elle plus tard.

“A un moment, il n’y a plus de vie. Nous n’avons pas vécu le pouvoir de la même façon. Cela a cassé quelque chose. J’aurais préféré une vie normale, on serait peut-être encore ensemble aujourd’hui. Je sais qui je suis, je peux me regarder dans la glace. Je suis libre”, déclare Valérie Trierweiler.

La journaliste affirme qu’elle “ne se prend pas pour une princesse”. “J’ai intérêt à reprendre une vie normale le plus vite possible car je ne veux pas faire partie de la catégorie des people et je n’en ferai pas partie”.

“Je suis plus dans la déception que dans la colère, dit-elle, mais je n’exclus pas d’écrire un livre…

La Une de “Paris Match”

Valérie Trierweiler, s’exprime aussi dans les colonnes de “Paris Match”, où elle travaille, à paraître ce jeudi. Pour sa une, l’hebdomadaire titre : “Quand j’ai su, j’ai cru tomber d’un gratte-ciel”.

Selon “Le Point”, Valérie Trierweiler s’est “confiée” à sa collègue Émilie Blachère deux heures avant d’atterrir à l’aéroport de Bombay. Dans un premier temps, l’ancienne première dame a autorisé que ses propos soient enregistrés puis s’est opposé “à leur utilisation”.

Valérie Trierweiler est rentrée en France ce mercredi matin après son voyage en Inde en soutien à l’ONG Action contre la faim, a-t-on appris de source aéroportuaire.

Son avion en provenance de Bombay a atterri à 8h05 à Roissy-Charles-de-Gaulle et L’ancienne compagne de François Hollande a quitté l’aéroport parisien dans la foulée sans passer par le terminal des passagers, a expliqué cette source.

En Inde, où elle s’était rendue juste après l’annonce de sa séparation avec le chef de l’Etat, elle avait évoqué publiquement, pour la première fois depuis la fin de cette relation, ses rapports avec François Hollande, qu’elle qualifie de “bons”.

L’ex-compagne du président Hollande, chroniqueuse littéraire à l’hebdomadaire Paris Match, a aussi assuré vouloir poursuivre le journalisme: “Je continue, mais je n’ai pas de projet, c’est trop tôt”, a-t-elle précisé.

En revanche, elle ne se voit pas redevenir journaliste politique, ce qu’elle a longtemps été : “Je n’en ai pas envie et ce serait trop compliqué”.

SOURCE / LE MONDE

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