Un bouillant dirigeant d’un parti politique, tonitruant même devrait-on dire, est parti voir la présidente du camp des Bérets rouges de Koulouba pour lui demander de se préparer à mobiliser les femmes de ce camp pour se joindre aux femmes de Kati, en vue d’une manifestation pour exiger la libération du capitaine-général Amadou Haya Sang. Mais Malheur à lui lorsqu’il a prononcé ce nom qui sonne comme l’enfer dans ce camp. Evidemment, il a été chasse comme un malpropre avoir subi le courroux de cette dame qui n’a pas usé du dos de la cuillère pour évacuer la soupe. Cela lui apprendra car il faudra qu’il sache que c’en est fini de ce genre de manipulations dont il usait du temps du Président ATT car il a été finalement prouvé par les services de sécurité que ce même homme politique était derrière la marche des femmes du camp de Kati qui posait le premier jalon du coup d’état du 22 mars 2012. A quand devra-t-il se résoudre qu’autre temps, autre méthode?
La rédaction