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Tribulations du régime algérien, d’ONG’s mais aussi de la presse algérienne soutenant le polisario et ouverture d’un Consulat Général à Laâyoune par le Burundi

Plusieurs centaines de séquestrés Sahraouis de la Tribu Oulad Tidrarine ont observé, le 25 février 2020 dans les camps de la honte à Tindouf un sit-in pour dénoncer l’implication des responsables du polisario dans l’évasion de deux détenus accusés du meurtre d’un de leur membre.

Ce sit-in s’est déroulé au « camp Smara » où se déroulera le soi-disant anniversaire de la proclamation de pseudo RASD un 27 février 1976 créée par le Président algérien Boumedienne afin de nuire aux intérêts supérieurs du Maroc.

Après ce tour de chauffe, une nouvelle contestation a été organisée par des centaines de membres de la tribu Oulad Tidrarine, le 25 février 2020 dans le « camp Smara » sis à Tindouf et ce, alors que le prétendu chef polisarien, Brahim Ghali, adoubé de ses lieutenants, présidait une cérémonie.

Ainsi, devant des étrangers venus à l’occasion, des centaines de Sahraouis séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf ont réclamé, le 27 février 2020, que justice soit rendue tout dénonçant violemment la fuite des prisons du polisario de détenus condamnés à la peine capitale dans des affaires de meurtres grâce à la complicité de leurs puissants relais au sein de la direction polisarienne.

Cette contestation des Sahraouis marocains embastillés dans les camps de la mort de Tindouf a gâché ces fictives festivités du polisario au point que des miliciens polisariens armés ont tenté d’empêcher les protestataires d’atteindre la tribune réservée au mercenaire Brahim Ghali et à ses convives.

Une confrontation qui s’est soldée par la mort d’un mercenaire polisarien et l’arrestation de dizaines de manifestants qui scandaient des slogans appelant à la condamnation des personnes impliquées dans ces affaires de meurtre et d’évasion, ont été rejoints spontanément par des étrangers qui participaient au « Sahara marathon », dans ledit « camp de Smara », où ils ont pris des photos et filmé quelques scènes des accrochages entre les civils et les milices armées.

Ces protestations se déroulent alors qu’Amnesty International a accusé les chefs du polisario de la répression brutale des protestations et sont également pointé du doigt par cette organisation internationale d’utiliser des chars et des blindés fournis par l’armée algérienne pour disperser des sit-in et des manifestations pacifiques, organisées pour dénoncer les restrictions de déplacement en dehors des camps, tout en ayant recours aux enlèvements des opposants afin d’intimider les protestataires et mettre fin aux manifestations.

Les Sahraouis marocains, séquestrés depuis quatre décennies dans les camps de la honte de Tindouf, une prison à ciel ouvert, sont dans un état critique suite à la maltraitance ainsi qu’aux multiples abus pervers, où seuls leurs geôliers polisariens et leurs acolytes profitent de cette situation macabre.

Des ONG’s alertent sur les conditions de vie difficiles des hommes, des femmes et enfants qui n’ont jamais pu quitter les camps de Tindouf depuis leur naissance nécessitant une intervention internationale et multiforme pour les rapatrier à leur pays d’origine le Royaume du Maroc, afin de mettre fin à leurs souffrances physiques et psychiques.

Aussi, face à l’opposition grandissante dans les camps, la direction des mercenaires poisariens a mis la pression sur l’Algérie pour l’érection d’un mur, truffé de mines, tout autour du périmètre de Tindouf et les caravanes humanitaires, destinées ces derniers temps aux camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tindouf, sont des manipulations machiavéliques pour leurrer l’opinion internationale.

Brahim Ghali, un tortionnaire notoire, avec son cercle de commandement cruel, qui maintiennent le statu quo pour leurs propres profits financiers, doivent être poursuivis et jugés par la cour pénale internationale pour crime contre l’Humanité.

La position du Royaume du Maroc concernant ce conflit est claire et elle est soutenue par différents pays, l’ONU, Union Européenne et les instances internationales.

D’ailleurs de nombreux pays frappent à la porte du Maroc pour ouvrir un Consulat dans les provinces sahariennes marocaines. Dernier pays en date du 28 février 2020 à ouvrir un Consulat Général est le Burundi. De quoi faire chialer à tire la rigole les responsables algériens et son Président, parti quémander un soutien financier à l’Arabie Saoudite, et momifier les terroristes polisariens. Une nouvelle ouverture d’une représentation diplomatique qui sape toute crédibilité du polisario et met à mal le régime algérien, principal soutien de cette entité fantoche.

SourceFarid Mnebhi

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