La transhumance et le pastoralisme ne doivent pas être une porte dérobée pour les terroristes, ont prévenu lundi les autorités.
La transhumance et le pastoralisme ne doivent pas être une porte dérobée pour les terroristes, ont prévenu lundi les autorités.
‘Nous avons besoin des animaux transhumants, mais il faut reconnaitre que l’insécurité et la menace extrémiste sont de réelles préoccupations. Les choses sont à repenser’, a déclaré Kolani Dindiogue, représentant du ministre de l’Agriculture.
Les déplacements saisonniers de bétail existent dans l’ensemble des pays d’Afrique de l’Ouest. La transhumance et un moyen ancestral d’éviter l’épuisement de la végétation. Les mouvements viennent en général des pays enclavés : Burkina-Faso, Niger, et Mali.
Or, ces Etats sont gangrénés par les groupes jihadistes. Comment faire la différence entre des éleveurs et des terroristes.
Source: republicoftogo