Question 1 : Qui êtes-vous, qu’est-ce que le Mouvement SBM 2023 ?
Nous sommes une centaine de jeunes venant de tout le Mali qui soutient la vision et l’humilité de Monsieur Maiga. Notre admiration pour l’homme s’est amplifiée quand nous avons vu ce qui s’est passé quand il a coupé certaines subventions à des personnes jugées au-dessus de la loi, c’est à dire au-dessus de nous tous pour remflouer les caisses de l’état.
Nous avons pour objectif de mettre sur pied des Groupements d’intérêts économiques (GIE) dans chaque commune du district. Les GIE sont à but lucratif, ce qui permettra de créer du travail, et permettre aux jeunes de subvenir à certains besoins récurrents. Les GIE seront essentiellement orientés vers la salubrité ou seul le ramassage d’ordure sera payant, l’assistance médicale aux malades chroniques et personnes âgées à domicile avec des infirmiers (gratuit), la gestion de parkings…La vie est courte, nous préférons être acteur de notre vie en montrant l’exemple plutôt que passer notre vie à dénoncer, critiquer ou dénigrer sans rien proposer.
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Question 3 : Que répondez-vous à ceux qui vous traitent d’opportuniste?
Mouvement SBM 2023 : Opportuniste en soi est une bonne chose, il n’est négatif que lorsqu’il se manifeste à l’encontre des principes moraux et des valeurs fondamentales. Nous prenons cela comme un compliment et non comme un jugement. Aux âmes bien nés la valeur n’attend point le nombre des années est une expression adressée à ceux qui ont su saisir les opportunités du moment.
Pour nous, Mr Soumeylou Boubeye Maiga est une opportunité pour le Mali, un Rampart contre les démagogues, les populistes et les fanatiques.
Si c’est cela être opportuniste, nous le sommes et le revendiquons même.
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Question 7 : Le projet d’éducation sexuel est-il celui de votre Président?
Mouvement SBM 2023 : Non, il ne l’a jamais été d’ailleurs. L’éducation sexuelle ne sera jamais acceptée par les maliens, nous le savions. Les partenaires extérieurs doivent le comprendre à travers un « Non » de la majorité des maliens par Referendum s’il le faut, c’est cela que nous voulons. Il ne s’agit pas pour le l’état malien de dire « Non » aux bailleurs de fonds pour qu’ils le comprennent comme tel, les aides extérieures sont conditionnées au respect de certaines libertés fondamentales bien que nous ayons nos réalités. La diplomatie a ses subtilités que la rue ignore.
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Retrouvez l’intégralité de l’interview sur www.mouvementsbm2023.com
Source: Maligo Actu
