– le préservation des Institutions
– la mise en place d’un gouvernement d’union nationale
– la reprise des législatives dans les zones contestées au second tour
– la relecture des textes régissant le fonctionnement de la Cour Constitutionnelle (Aliou Diallo pour sa part appelle littéralement à la démission de tous ses membres)
– la mise en œuvre rapide des recommandations du dialogue national inclusif.
Face à l’intransigeance de certains acteurs de la contestation du Président malien IBK, la plupart des observateurs fondent leurs espoirs d’accalmie sur le chef de la contestation, l’imam Mahmoud Dicko qui semble progressivement vouloir détendre la situation. Même si tous attendent les conclusions de la rencontre du directoire de la contestation, le M5-RFP, le rejet ou l’acceptation par ces acteurs politiques n’aura pas grand impact. C’est la position de l’imam Mahmoud Dicko qui sera scrutée de près.
Mahmoud Dicko se laissera-t-il entraîner par les plus radicaux du M5-RFP et rejettera-t-il les proposition de la Communauté internationale ?
De l’autre côté, IBK saura-t-il saisir la bouée de sauvetage lancée par la CEDEAO pour sauver le Mali ?
Les prochains jours nous édifierons…
La Rédaction
Source : Gazette du Mali