«Soyons objectifs et raisonnables : l’opposition malienne a bel et bien le droit de marcher pour faire des revendications qui lui tiennent à cœur. Mais l’objectif final ne doit en aucun cas être le départ du président IBK avant les élections du 29 juillet.
Il ne serait pas bon de plonger le pays dans une crise sans précédent. Il lui reste moins de 2 mois. Si nous voulons faire partir le président, nous devons aller aux élections et faire parler les urnes. La ‘Somalisation’ du Mali serait une tragédie. Souvenons-nous de mars 2012. À vouloir forcer le départ du président avant l’heure, vous ferez de lui un héros national.»
Source: Le reporter