Le Royaume-Uni s’inquiète. L’état de santé de ses soldats serait en chute libre. « Too fat to fight », trop gros pour combattre, le Sunday Times donnait le ton dans son édition de dimanche. En cause : la malbouffe mise à la disposition des soldats matin, midi et soir.
Depuis trois ans, 32 000 soldats auraient été recalés et 22 000 autres souffriraient de diabète, de tension artérielle trop forte ou de manque de souffle. Le ministère de la Défense britannique assure pourtant apporter tout le soutien nécessaire à ses troupes. Il souligne que seul 11% de l’effectif est concerné par les échecs au test et que la plupart les repassent dans les 7 jours sous peine d’être renvoyés de l’armée.
Rfi