Poursuivi, avec beaucoup d’autres officiers et soldats, pour avoir déstabilisé les institutions et tué des citoyens lors de la révolte des « bérets rouges » (commandos parachutistes), le 30 avril 2012, contre la junte militaire de l’époque, le général Hamidou Sissoko alias « Mann », chef d’état-major particulier de l’ancien président ATT, bénéficie d’un non lieu à suivre.Sur réquisitions conformes du parquet, le juge d’instruction a décidé que les charges retenues contre l’intéressé n’étaien pas fondées.
Tiékorobani
Source: Procès Verbal