Quelques jours après l’assassinat des trois casques bleus guinéens, non loin de Siby à 44 km de Bamako, des indications laissent croire que les auteurs de cette attaque meurtrière » parlaient Bambara et Tamasheq » deux langues locales de notre pays. Ce qui donne à penser qu’il pourrait s’agir de Maliens et non pas de Guinéens venus de leur pays tout proche comme l’hypothèse en a été émise.
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