En 2018, apprend-on, à cause de l’incertitude qui planait sur la réélection du président Ibrahim Boubacar Kéïta, des dispositions sérieuses avaient été prises par plusieurs de ses proches en termes de départ et d’installation en hors du pays.
En clair, l’option «Soumaïla Président» avait été prise en compte par le camp d’en face et le scénario qui allait avec avait aussi été élaboré : des devises avaient été transférées, des villas et autres appartements acquis, la quasi-totalité des biens transférés. IBK a été réélu, mais le dispositif n’a pas pour autant été démonté. Au cas où… Pire, on a même décidé de passer à la vitesse supérieure en sollicitant l’acquisition de nationalité double pour ceux qui n’en ont pas.
C’est ainsi que l’on apprend qu’un très proche d’IBK, à travers sa fiancée, qui y réside, veut se faire naturaliser Canadien. N’en soufflez mot à personne.
Source : Nouvelle Libération