Poussé jusque dans ses derniers retranchements par la désobéissance civile d’une foule en colère, réclamant sa » démission et celle de son régime « , IBK n’a eu d’autre choix que de dissoudre la Cour constitutionnelle. Espérant, sans doute, que cette décision, prise dans la nuit de samedi à dimanche 12 juillet, apaisera les manifestants qui, à travers les actes de vandalisme, semblent, cette fois-ci, vouloir aller jusqu’au bout de leur conviction.
Source : l’Indépendant