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Pour une transition réussie comme jamais dans l’histoire de notre Pays: L’Association des Jeunes pour le Changement invite l’ensemble du peuple malien à se réunir autour du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP)

Dans le cadre de la recherche des solutions idoines pour une transition réussie comme jamais dans l’histoire de notre pays, l’Association des Jeunes pour le Changement (AMC), dirigée par Aboubacar Sidiki Kanta, était face à la presse, le samedi 28 août dernier, à la Maison de la presse. Occasion pour lui, d’inviter l’ensemble du peuple malien à se réunir autour du Comite? National pour le Salut du Peuple (CNSP). Il avait à ses côtés le président d’honneur de l’association, Mohamed Lamine Baby et les membres du bureau national.

 

Pour le Coordinateur de l’Association des Jeunes pour le Changement (AMC) Aboubacar S. Kanta, les jeunes ont suivi avec intérêt l’évènement du 18 août dernier, qui a vu la chute du régime d’Ibrahim Boubacar Keïta et la mise en place du Comite? National pour le Salut du peuple (CNSP).  » Nous prenons acte et invitons l’ensemble du peuple malien a? se réunir autour du CNSP pour qu’ensemble nous trouvions des solutions idoines pour une transition réussie comme jamais dans l’histoire de notre pays « , at-il souhaité.

Le conférencier a expliqué que la CDEAO doit revoir ses sanctions contre le Mali.  » A la CEDEAO, nous disons qu’il ne faut pas ajouter une crise a? une autre « , a-t-il martelé. Avant d’expliquer que depuis le début de cette dernière décennie, le pays est plonge? dans une crise multidimensionnelle, notamment sécuritaire, éducative, sanitaire et économique.  » C’est pourquoi, nous demandons le réexamen des sanctions infligées a? notre pays. L’heure est a? la cohésion sociale, ensemble donnons-nous la main pour un Mali un et indivisible car le changement c’est maintenant ! », a-t-il clamé.

Le conférencier a expliqué que la CDEAO doit revoir ses sanctions contre le Mali.  » A la CEDEAO, nous disons qu’il ne faut pas ajouter une crise a? une autre « , a-t-il martelé. Avant d’expliquer que depuis le début de cette dernière décennie, le pays est plonge? dans une crise multidimensionnelle, notamment sécuritaire, éducative, sanitaire et économique.  » C’est pourquoi, nous demandons le réexamen des sanctions infligées a? notre pays. L’heure est a? la cohésion sociale, ensemble donnons-nous la main pour un Mali un et indivisible car le changement c’est maintenant ! », a-t-il clamé.

Et d’ajouter :  » Nous exhortons le Comité? National pour le Salut du Peuple (CNSP) a? mettre en place de toute urgence un gouvernement de transition, compose? de militaires et de civils, qui s’attèlera a? relever les défis urgents et majeurs pour le bien-être de la population « , a-t-il affirmé.

Aussi, les jeunes recommandent que la transition soit dirigée par un militaire, pour une durée de trois ans et pour une véritable refondation de l’Etat.

Aussi, ils ont exhorté la junte à trouver une solution immédiate a? la crise scolaire, car l’école tend vers une année blanche.

A leurs dires, le redéploiement et le renforcement des Forces de sécurité? sur toute l’étendue du territoire est l’une des priorités principales pour les Maliens dans leur majorité.

Pour ce qui est des reformes administrative et institutionnelle, les jeunes soutiennent qu’elle doit commencer par la révision de la Constitution du 25 février 1992, avant de promouvoir la bonne gouvernance et une gestion axée sur le résultat. Aussi, ils sollicitent une réduction des budgets de fonctionnement des Institutions et des Ministères. Pour ce faire, le conférencier a conclu que l’idéal serait vingt départements ministériels maximum.

Daouda SANGARE

Source : l’Indépendant

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