En 2013, le pouvoir politique malien malmené par l’avancée des factions djihadistes en provenance du nord du pays demandait une assistance militaire française. Le président Hollande déclenchait en catastrophe l’opération «Serval» stoppant l’avancée des assaillants.
Depuis, l’opération «Barkhane» a remplacé l’opération et de nombreux acteurs ont rejoint le théâtre des opérations, notamment la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), qui a vu sa mission prorogée jusqu’à la mi-2021. Cette dernière au mandat et moyens relativement limités ne s’est à ce jour guère illustrée de façon décisive sur le terrain et ce malgré des pertes humaines non négligeables.
Source : les echos