Plusieurs pays du Pacifique sont déjà en 2014. A Wellington, la capitale de la Nouvelle-Zélande, les douze coups de minuit ont résonné à 11 h 00 en temps universel. A Sydney, le feu d’artifice a été tiré au même moment, deux heures avant que minuit ne sonne en Australie. Partout dans le monde, les célébrations vont se succéder au rythme de l’avancée des fuseaux horaires.
A Sydney, en Australie, les grandes célébrations ont démarré, avant le traditionnel feu d’artifice dans la baie australienne, devant plus de 1,5 million de personnes.
Pour la première fois depuis dix ans, c’est au pied de l’Opéra de Sidney que le feu d’artifice a eu lieu, pour « le plus beau réveillon du monde, dans le plus beau port du monde », selon les termes du maire de la ville. Des termes qui seront contestés, sans nul doute, par d’autres pays et d’autres capitales.
Il y aura ainsi Dubaï, aux Émirats arabes unis, habitués à des célébrations particulièrement dispendieuses. Cette année, la cité espère inscrire son feu d’artifice dans les tablettes du Livre Guiness des records, avec tout de même 400 000 projectiles tirés en moins de dix minutes.
Démesure et craintes sécuritaires
Si, dans certains pays, ce Nouvel An est placé sous le signe de la démesure, dans d’autres ce sont les préoccupations de sécurité qui domineront. Au Brésil, par exemple, avec, à l’approche de la Coupe du monde de Football, la volonté d’assurer une organisation optimale. A Rio, plus de deux millions de personnes sont attendues sur la plage de Copacabana.
La sécurité sera aussi la préoccupation des autorités en Russie, après les attentats de Volgograd. A Saint-Pétersbourg, le feu d’artifice qui était initialement prévu a purement et simplement été annulé.
En France, il y aura aussi un aspect sécuritaire à ce Nouvel An, avec la crainte de débordements et d’incendies de voiture. Les autorités annoncent le déploiement de près de 10 000 policiers, gendarmes et pompiers.
Source : RFI