La justice n’a pas tremblé. Mardi, la Cour pénale internationale (CPI), sise à La Haye, a condamné Ahmad Al-Faqi Al-Mahdi à neuf ans de prison pour son rôle dans la destruction de sanctuaires à Tombouctou, au Mali, à l’été 2012 – un jugement historique car, pour la première fois, la destruction d’un héritage culturel est considérée comme un crime de guerre, relèvent The New York Timeset The Wall Street Journal.
Les juges de la CPI ont estimé que l’ancien djihadiste malien, né vers 1975 et ex-membre d’Ansar Eddine Lire la suite sur lemonde.fr